Je suis à l’étape du choix de mes images pour mon projet J’EXISTE.
Ce projet sur la souffrance liée à la maladie mentale m’importe vraiment et je ne connais pas encore tout à fait le format final qu’il prendra. J’explore… Je fais des essais d’association. Je ne dois garder que les photos qui formeront le coeur sensible de mon sujet, le noyau dur. J’implore la Muse. Je me casse la tête à vrai dire; je dois faire le deuil de plusieurs photos que j’affectionne et n‘en garder qu’une vingtaine maximum. Je me mettrai de côté une série complémentaire pouvant nourrir une publication, qui sait!
Pas facile, pas facile, mais c’est un heureux problème. Je trouve ça tellement stimulant de voir cette aventure prendre forme, prendre chair.
Je vous partagerai le synopsis de ce travail de «photographie à utilité sociale» sous peu.